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<title>Le match des tribunes - Google Fusion Tables</title>
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html, body {
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<body><table cellpadding="0" cellspacing="0"><tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>Date de publication</h4><br>
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<b>Hollande:</b> Symbolique : le 8 mai 2014, jour anniversaire de la victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie.<br>
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<b>Sarkozy:</b> Le 22 mai 2014, trois jour avant les élections européennes.
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</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>Longueur</h4><br>
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<b>Hollande:</b> 9536 signes<br>
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<b>Sarkozy:</b> 17061 signes
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</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>Sa phrase choc</h4><br>
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<b>Hollande:</b> «Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’histoire»<br>
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<b>Sarkozy:</b> «Vouloir la destruction de l'Europe, c'est mettre en péril la paix sur le continent européen»
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</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>Ses trois mots favoris</h4><br>
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<b>Hollande:</b> «Europe», «plus», «France».<br>
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<b>Sarkozy:</b> «Europe, plus, France».
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</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>Ce qu'il pense... du populisme</h4><br>
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<b>Hollande:</b> Il dénonce, sans le nommer, le programme du FN et met en garde contre une montée des populismes en Europe. «A la faveur de la crise économique […], des forces cherchent à défaire l’Europe en spéculant sur la déception, en misant sur le découragement, en exhumant les peurs.»<br>
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<b>Sarkozy:</b> A ceux qui seraient tentés par le vote populiste, il dit «comprendre leurs exaspérations et leurs colères». Mais il les invite à la «réflexion». L'«hostilité» à l'égard de l'Europe est «profondément injuste au regard de ce que l'Union Européenne nous a apporté de décisif avec la paix.»
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</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>...de l'état de l'UE</h4><br>
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<b>Hollande:</b> Il admet que l'Union européenne «déçoit», par «son impuissance» face au chômage ou ses «institutions et ses règles compliquées».<br>
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<b>Sarkozy:</b> Le couple franco-allemand ne joue pas son rôle. Il s'adresse «aux dirigeants Français comme Allemands, le leadership n’est pas un droit, c’est un devoir.(...)L’absence de leadership met l’Europe en danger car sans vision, sans cap et sans priorité.»
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</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>...de l'euro</h4><br>
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<b>Hollande:</b> Il estime que l'abandon de l'euro serait «un piège, celui du déclin national».<br>
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<b>Sarkozy:</b> Il «plaide clairement pour la création d'une grande zone économique franco-allemande cohérente et stable au coeur de la zone euro.»
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</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>...de l'immigration</h4><br>
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<b>Hollande:</b> Il défend « une Europe qui protège ses frontières, en préservant la liberté de se déplacer et en garantissant le respect du droit d'asile ».<br>
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<b>Sarkozy:</b> Face à «l'échec sans appel» de «la question essentielle des flux migratoires», il veut «suspendre immédiatement Schengen I et le remplacer par un Schengen II auquel les pays membres ne pourraient adhérer qu'après avoir préalablement adopté une même politique d'immigration».
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</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
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<b><b></b>:</b> <h4>...de l'Europe de demain</h4><br>
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<b>Hollande:</b> Il veut une Europe «qui agit là où on l'attend, qui clarifie ses modes de décision, allège ses procédures». «Cette Europe est celle qui, à partir de la zone euro, redonne de la force à l'économie, met fin à l'austérité aveugle, encadre la finance avec la supervision des banques.»<br>
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<b>Sarkozy:</b> Il veut que soit supprimée «la moitié des actuelles compétences communautaires» et focaliser l'action européenne sur «une petite dizaine de politiques prioritaires et fondatrices», dont l'industrie et l'agriculture.
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</div></td></tr></table></body></html> |