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<!DOCTYPE HTML><html><head>
<title>payslois.xlsx - Google Fusion Tables</title>
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html, body {
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</style></head>
<body><table cellpadding="0" cellspacing="0"><tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Benin<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Depuis mars 2003, une loi spécifique contre les mutilations génitales a été adoptée. Prévalence (2006) : 13 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Burkina Faso<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Pour renforcer le décret présidentiel instituant le comité national contre lexcision, une loi entre en vigueur en 1997 pour sanctionner toutes les mutilations génitales féminines. Prévalence (2006) : 78 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Central African Republic<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Depuis 1996, une ordonnance présidentielle érige en infraction punissable dune peine dun à deux mois de prison et damendes toutes pratiques de mutilations génitales féminines. Une disposition qui est venue renforcée la loi anti-excision qui existait depuis 1966.Prévalence (2006) : 26 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Chad<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Une loi contre l'excision et d'autres mutilations génitales a été romulguée en 2003. Prévalence (2004) : 45 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Côte dIvoire<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Aux termes de la loi promulguée en décembre 1998, toute atteinte à lintégrité des organes génitaux dune femme, par voie de mutilation totale ou partielle, excision (…), qui savère néfaste, est punie dun à cinq ans demprisonnement et dune forte amende. Prévalence (2006) : 36 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Djibouti<br>
<b>Loi anti-excision:</b> La modification du code pénal en avril 1995 introduit une peine demprisonnement et une amende en lencontre de toute personne reconnue coupable de mutilations génitales féminines. Prévalence (2006) : 93 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Egypt<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Une jurisprudence de la cour de cassation de décembre 1997 expose à des sanctions pénales et administratives toute mutilation sexuelle féminine. Prévalence (2008) : 91 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Eritrea<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Une loi spécifique contre les mutilations génitales féminines adoptée 2007. Prévalence (2002) : 89 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Ethiopia<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Depuis 2004, une loi spécifique contre les mutilations sexuelles féminines est en vigueur. Prévalence (2005) : 75 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Ghana<br>
<b>Loi anti-excision:</b> La Constitution sinscrit dans loptique de labolition des pratiques traditionnelles préjudiciables à la santé et au bien-être des personnes. Prévalence (2006) : 4 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Guinea<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Le code pénal punit de travaux forcés à perpétuité toute mutilation génitale féminine. Si la mort sen suit, le coupable risque la peine capitale. Prévalence (2005) : 96 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Guinea-Bissau<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Depuis juin 2011, est passible d'une peine de cinq ans de prison et d'une amende pouvant atteindre 5 millions de francs CFA, toute personne se rendant coupable de mutilation génitale féminine. Prévalence (2006) : 45 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Kenya<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Une loi spécifique contre les mutilations génitales féminines existe depuis 2001. Prévalence (2009) : 27 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Mauritania<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Décembre 2005, adoption de la loi sur la protection de lenfant qui punit « toute atteinte à lorgane génital dun enfant de sexe féminin (…) lorsquil en résulte un préjudice pour celui-ci ». Prévalence (2007) : 72 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Niger<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Une loi a été promulguée contre les mutilations génitales féminines le 13 juin 2003. Prévalence (2006) : 2 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Senegal<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Depuis 1999, une loi spécifique contre les mutilations génitales féminines est d'application. Prévalence (2005) : 28 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Somalia<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Novembre 1999, le parlement a adopté à lunanimité la loi interdisant les mutilations génitales féminines. Prévalence (2006) : 98 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Tanzania<br>
<b>Loi anti-excision:</b> La circulaire spéciale sur les crimes sexuels de 1998 punit de peines demprisonnement et damendes les pratiques de mutilations génitales féminines. Prévalence (2005) : 15 %
</div></td></tr> <tr><td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Togo<br>
<b>Loi anti-excision:</b> Le 30 octobre 1998, l'Assemblée Nationale a voté à l'unanimité une loi interdisant les mutilations génitales fémines. Prévalence (2006) : 6 %
</div></td> <td><div class="googft-card-view" style="font-family:sans-serif;width:450px;padding:4px;border:1px solid #ccc;overflow:hidden">
<b>Pays:</b> Uganda<br>
<b>Loi anti-excision:</b> En 1996, la jurisprudence a statué en faveur de la prohibition de ces pratiques, sur la base des termes de la section 8 de la Charte des Enfants, promulguée la même année, qui rend illégal le fait de soumettre un enfant à des pratiques sociales ou coutumières néfastes pour sa santé. Prévalence (2006) : 1 %
</div></td></tr></table></body></html>